Une petite porte s'est entrouverte et ils en ont profité pour s'y engouffrer. Les quatre-vingt-dix-sept places libérées par les internationaux du Top 14 pendant la Coupe du monde : profitent en partie à des jeunes . Car pour des raisons financières ou par conviction, les équipes n'ont fait que peu appel aux jokers Coupe du monde, pourtant autorisés par le règlement. D'ailleurs certains clubs qui ont utilisé beaucoup déjeunes, souvent à cause de : blessures dans leur effectif, souffrent. De Jonathan Danty, le centre parisien, pas encore dix-neuf ans, à l'ouvreur de Bayonne Clément Otazo en passant par les piliers de Clerrnont Raphaël Chaume ou du Racing-Métro Ëddy Ben Afous, les nouveaux patronymes fleurissent sur les feuilles de match. La génération équipe de France de moins de20 ans de l'an dernier est aussi à l'honneur : le Montpelliérain Yohann Artru, le Clermontois Jean-Marceilin Buttin, le Bayonnais Marvin O'Connor, le Toulousain Gillian Galan.
Mais pour tous ces jeunes, le plus dur commence. Ils vont devoir digérer cette première ; expérience. Ils vont pouvoir mesurer le chemin qui leur reste à parcourir. Et pour certains, qui sait, s'installer comme Jean-Marc Doussain (qui partira ce week-end rejoindre l'équipe de France en Nouvelle-Zélande) est parvenu à le faire l'an dernier à Toulouse. Avec le retour des internationaux, le temps de jeu des jeunes pousses diminuera forcément. Mais pour ceux qui auront fait leurs preuves, viendra l'heure de l'affinage, entouré par des cadres. Car le fameux y a qu'à mettre des jeunes souvent entendu dans les stades n'est pas toujours la panacée. Le monde du rugby professionnel est rude, et rare sont ceux qui sont : déjà prêts à vingt ans, surtout pour les joueurs du cinq de devant.
Mais pour tous ces jeunes, le plus dur commence. Ils vont devoir digérer cette première ; expérience. Ils vont pouvoir mesurer le chemin qui leur reste à parcourir. Et pour certains, qui sait, s'installer comme Jean-Marc Doussain (qui partira ce week-end rejoindre l'équipe de France en Nouvelle-Zélande) est parvenu à le faire l'an dernier à Toulouse. Avec le retour des internationaux, le temps de jeu des jeunes pousses diminuera forcément. Mais pour ceux qui auront fait leurs preuves, viendra l'heure de l'affinage, entouré par des cadres. Car le fameux y a qu'à mettre des jeunes souvent entendu dans les stades n'est pas toujours la panacée. Le monde du rugby professionnel est rude, et rare sont ceux qui sont : déjà prêts à vingt ans, surtout pour les joueurs du cinq de devant.
bonjour the wild bunch
RépondreSupprimerJe ne vois pas le lien ?
Merci beaucoup pour ton job
Un fan
merci
RépondreSupprimerc'est marqué : "upload" (bientot)
Merci TWB, pour tout ce que tu mets sur ton blog.
RépondreSupprimerJuaninho
Tiens quelle surprise..
RépondreSupprimerBen je pensais que je ne pouvais pas remercier si je n'étais pas inscrit... et j'ai découvert la réponse "anonyme" hier.
RépondreSupprimerEn tous cas, ça fait plaisir de trouver d'autres de tes uploads !
un peu chiant c'est vrai le systeme pour laisser les commentaires...
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