World Cup 2011 Quarts de Finale

 QUARTS DE FINALE

 

Australie Afrique du sud

9 October 2011
Regional Stadium Wellington

 

Wc.2011.StAf.Aust.QtF.Thewildbunch22.1Hlf.mkv
435.0 Mo
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Wc.2011.StAf.Aust.QtF.Thewildbunch22.2Hlf.mkv
401.2 Mo
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D'un côté, l'assurance, la puissance mais un manque d'imagination. De l'autre le talent, la vitesse mais une certaine friabilité Afrique du Sud - Australie, véritable choc de ces quarts de finale du Mondial, opposera,  à Wellington, deux sélections déjà sacrées à deux reprises chacune. Les Wallabies, battus à la surprise generale en poule par l'Irlande, miseront sur les inspirations d'une ligne de trois-quarts imprévisible. Mais Beale, Cooper ou O'Connor auront-ils les ballons nécessaires à leurs exploits ? Le pack de fer des Springboks, sera une nouvelle fois l'arme absolue des champions du monde en titre.

 

 

South Africa: 15 Pat Lambie, 14 JP Pietersen, 13 Jaque Fourie, 12 Jean de Villiers, 11 Bryan Habana, 10 Morné Steyn, 9 Fourie du Preez, 8 Pierre Spies, 7 Schalk Burger, 6 Heinrich Brüssow, 5 Victor Matfield, 4 Danie Rossouw, 3 Jannie du Plessis, 2 John Smit (c), 1 Gurthrö Steenkamp. Replacements: 16 Bismarck du Plessis, 17 CJ van der Linde, 18 Willem Alberts, 19 François Louw, 20 François Hougaard, 21 Butch James, 22 Gio Aplon.
Australia: 15 Kurtley Beale, 14 James O'Connor, 13 Adam Ashley-Cooper, 12 Pat McCabe, 11 Digby Ioane, 10 Quade Cooper, 9 Will Genia, 8 Radike Samo, 7 David Pocock, 6 Rocky Elsom, 5 James Horwill (c), 4 Dan Vickerman, 3 Ben Alexander, 2 Stephen Moore, 1 Sekope Kepu. Replacements: 16 Tatafu Polota Nau, 17 James Slipper, 18 Nathan Sharpe, 19 Ben McCalman, 20 Luke Burgess, 21 Berrick Barnes, 22 Anthony Fainga'a.

 

 

 

 

 Irlande Galles

8 Octobre
Wellington Regional Stadium 

 

Wc.2011.Irl.Wls.QtF.Thewildbunch22.1Hlf.mkv
404.2 Mo
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Wc.2011.Irl.Wls.QtF.Thewildbunch22.2Hlf.mkv
384.8 Mo
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 Faites remarquer à Warren Gatland, le sélectionneur des Gallois, qu'à chaque fois qu'il a eu le choix, à valeur égale, entre un jeune et un joueur expérimenté il a choisi le jeune, alors que son homologue irlandais Declan Kidney a opté pour le « vieux », il vous répondra : « Nous avons la chance d'avoir beaucoup de jeunes qui sont arrivés sur les talons de nos anciens et qui ont commencé à leur mordre les chevilles. » A la même question, vingt-quatre heures plus tôt, Kidney s'était contenté d'un diplomatique : «J'ai déjà assez à faire avec mon équipe pour aller me mêler des affaires des autres », avant d'ajouter, tout de même : « Vous auriez tort de penser que j'ai choisi Ronan O'Gara (34 ans, 1 14 sélections) pour son expérience, parce que Jonathan Sexton (26 ans, 22 sélections) a déjà remporté deux finales de Coupe d'Europe (2009 et 2011}, et si ce n'est pas aussi de l'expérience... »

 

 

N'empêche, l'Irlande n'a pas attendu le Leinster et son talentueux ouvreur pour remporter deux Coupes d'Europe. Le Munster l'a fait avant la province de Dublin avec, à sa tête, Declan Kidney (en 2006 et 2008). Et cet entraîneur était aussi celui des champions du monde irlandais des moins de 19 ans, qui ont remporté la finale de 1998, à Toulouse, face à la France (18-0). Il y avait là déjà son capitaine d'aujourd'hui, Brian O'Driscoll, et son deuxième-ligne Doncha O'Calla-ghan, et même Paddy Wallace, non retenu pour ce match mais présent dans le groupe. À ceux-là, se sont ajoutés les Gordon D'Arcy, Paul O'Connell, Geordan Murphy, sans oublier O'Gara, joueurs clés d'une génération si prometteuse qui n'a, finalement, remporté qu'un Grand Chelem à l'issue du Tournoi 2009. « Si on se compare aux autres générations irlandaises, estime Q'Callaghan, on ne peut pas dire qu'on ait fait beaucoup mieux. » Faire beaucoup mieux, ce serait devenir la première équipe d'Irlande à se qualifier pour une demi-finale de Coupe du monde. « C'est notre rêve à tous, explique le capitaine O'Driscoll, on ne voit pas plus loin que ça. «Avant d'ajouter : « Prendre l'avion lundi pour rentrer serait vraiment une terrible désillusion. » 

 

 

 En face, on n'y pense même pas, tant l'insouciance et l'enthousiasme semblent porter une formation galloise totalement transformée depuis cet hiver. Deux scores en donnent la mesure plus que tout : 19-19 et 66-0. En novembre, les Gallois, honteux, concédaient le nul aux Fidjiens à Cardiff. Dimanche dernier, à Hamilton, ils écrabouillaient ces mêmes îliens. La révolution a commencé là. Ryan Jones, coupable de la faute ultime qui a offert la pénalité de l'égalisation aux Fidjiens, a perdu son capitanat. Gaîland a dû affronter la colère de toutes les anciennes gloires de l'équipe du Poireau, devenus chroniqueurs dans les médias. Mais il a tenu bon, accélérant les décisions radicales au fur et à mesure qu'approchait le Mondial. Il perd son capitaine et talonneur Matthew Rees ? Il fait le pari de Sam Warburton (23 ans), plus jeune capitaine de l'histoire du Mondial et, pour l'instant, immense révélation de ce tournoi.

Stephen Jones se blesse à réchauffement du match de préparation contre l'Angleterre, le 6 août ? Il lance Rhys Priestland (24 ans) qui, depuis, n'a plus quitté le numéro 10. Ryan Jones souffre du mollet ? Toby Faletau (20 ans) assure l'intérim avant de signer un CDD, comme George North (19 ans), Dan Lydiate (23 ans) et maintenant Leigh Halfpenny (23 ans} qui prend le numéro 15 à James Hook laissé sur ie banc... Pour tous ceux-là, quoi qu'il arrive demain, il y aura encore beaucoup de matches et d'autres Coupes du monde. Pour les Irlandais, en revanche, c'est « last call... », comme on dit dans les pubs de Dublin quand est venue l'heure de la dernière commande de Guinness... sans être assuré que le serveur l'acceptera.

 

 

Ireland: 15. Robert Kearney, 14. Tommy Bowe, 13. Brian O`Driscoll (Captain), 12. Gordon D`Arcy, 11. Keith Earls, 10. Ronan O`Gara, 9. Conor Murray, 8. Jamie Heaslip, 7. Sean O`Brien, 6. Stephen Ferris, 5. Paul O`Connell, 4. Donncha O`Callaghan, 3. Mike Ross, 2. Rory Best, 1. Cian Healy
Replacements: 16. Sean Cronin, 17. Tom Court, 18. Donnacha Ryan, 19. Denis Leamy, 20. Eoin Reddan, 21. Jonathan Sexton, 22. Andrew Trimble
Wales: 15. leigh Halfpenny, 14. George North, 13. Jonathan Davies, 12. Jamie Roberts, 11. Shane Williams, 10. Rhys Priestland, 9. Michael Phillips, 8. Toby Faletau, 7. Sam Warburton (Captain), 6. Dan Lydiate, 5. Alun-Wyn Jones, 4. Luke Charteris, 3. Adam Jones, 2. Huw Bennett, 1. Gethin Jenkins
Replacements: 16. Lloyd Burns, 17. Paul James, 18. Bradley Davies, 19. Ryan Jones, 20. Lloyd Williams, 21. James Hook / Stephen Jones, 22. Scott Williams

 

 

 

Nouvelle Zelande Argentine

9 Septembre 2011
Eden Park Auckland

 

 

Wc.2011.Arg.Nz.Thewildbunch22.1Hlf.mkv
475.6 Mo
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Wc.2011.Arg.Nz.Thewildbunch22.2Hlf.mkv
403.6 Mo
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 Le contraste est saisissant. Huit jours plus tôt au même endroit, le bar et le salon de l'hôtel Heritage où résidait l'équipe d'Angleterre était un havre de quiétude à l'heure du « tea time ». L'Argentine est arrivée et l'atmosphère a radicalement changé. Mercredi en fin d'après-midi, les familles ont investi la place. Les enfants courent, crient, certains pleurent mais, surtout, joueurs et concubines rient et saluent chaque nouvelle arrivée par une bise ou par le traditionnel « abrazo » . Pour les Pumas, il ne faitaucun doute que cette vie de groupe est la clé du succès argentin. « Notre philosophie, c'est que pour être bons sur le terrain, il faut être très soudés en dehors, résume Juan Martin Fernandez Lobbe (JMFL).Mais un esprit d'équipe, c'est quoi ? C'est quand tous se mélangent et communiquent. »

 

 

Tout a semble-t-il commencé à Pensacola (Floride), au début de juillet. « Le 3 juillet exactement, précise le Toulonnais JMFL, que Bernard Laporte a autorisé à rester en Nouvelle-Zélande malgré sa blessure à un genou et son forfait pour le Mondial. Felipe (Contepomi} a pris la parole, explique JMFL, et a exposé son idée de ce que devait être notre vie commune. Sinon, on savait que ce serait difficile... » Car dans ce groupe orphelin des fortes personnalités retraitées après le Mondial 2007 (Pichot, Manuel Contepomi, Durand, Ignacio Fernandez Lobbe), il a fallu réaliser l'union entre joueurs issus de différentes générations et, parfois, simplement faire connaissance. « Le jour du rassemblement, je ne savais pas à quoi ressemblait Imhoff ou Sanchez, je ne les avais jamais vus, confie JMFL. Ils jouent en Argentine, moi en France, l'éloigne-ment complique tout chez nous. » Trois mois plus tard, Mario Ledesma, vétéran de la sélection (38 ans), a cette phrase forte : « Dans un groupe, il faut avoir des relations fraternelles, moi, je porte un regard quasi paternel sur certains. Ils pourraient être mes enfants ! » 

 

 

 Surtout, cette vie de groupe est faite d'une règle non écrite que l'on pourrait assimiler au célèbre « un pour tous, tous pour un ». Manuel Carizza : « On es t toujours ensemble. Quand je dis toujours, c'est toujours ! » À Dunedin, l'accès à Internet était quasi nul dans les chambres. « Alors, il a été décidé que chacun profiterait du même modem, dans la salle de vie. On se relayait pour surfer sur le Web, sinon, on partageait les activités. » Lesquelles ? « Tennis de table, cartes, dés, PlayStation ou séance de cinéma »,énu-mère JMFL Le numéro 8de Toulon fait beaucoup de choses pour le groupe. Une fois décryptée la stratégie en touche des adversaires avec Patricio Albacete, il s'occupe de la programmation musicale et vidéo. « J'ai un iPod, l'enceinte stéréo, et je programme les titres sur la liste que tous les joueurs ont enrichie. » Majoritairement, c'est du rock argentin qui résonne dans l'autocar. Et quand il n'y a pas de musique, Nicolas Sanchez, le futur demi d'ouverture de l'Union Bordeaux-Bègles, met l'ambiance.

 

 

Le soir, après les matches, la très grande famille se réunit à l'hôtel. « Les proches viennent, on fait un bon repas, on s'autorise quelques bières et on traîne jusqu'en début de nuit, glisse Ledesma. Mais personne ne sort seul. On s'est dît que si on sortait en ville, c'était tous et ensemble. » Dans l'intimité de la salle de vie, deux à trois fois par semaine, Agus-tin Creevy et JMFL assurent les projections de films. « C'est comme en famille, insiste Carizza. On traîne à table, personne ne rentre dans sa chambre. On se met devant l'écran. Films de science-fiction ou qui font peur, et des fois, ça crie ! s'esclaffe Carizza. Ou alors, des téléchargements, comme Vidéo-match un programme télé de chez nous. Ce sont des sketches, des anciennes émissions que l'on regardait enfant On adore ! » Et pas loin, des boîtes de chocolat sont à disposition. « Manger du chocolat devant la télé, c'est normal non ? Comme à la maison », sourit Fernandez Lobbe. Parfois, comme à Palmerston North avant le match contre la Géorgie, le jour de repos est consacré à un barbecue géant sous la responsabilité de Martin Scelzo : « Je suis allé chez le boucher. J'ai acheté soixante kilos de viande, j'ai coupé les morceaux. Il fallait bien ça, on n'était pas loin de quatre-vingts. » Soit une moyenne de sept cent quatre-vingts grammes par personne... Il fallait bien ça. En groupe, les Pumas sont encore plus redoutables.

 

 

New Zealand: Muliaina, Jane, Smith, Nonu, SB Williams, Slade, Weepu; Woodcock, Mealamu, O. Franks, Thorn, Whitelock, Kaino, McCaw, Read.

Replacements: Toeava for Muliaina (40), Cruden for Slade (33), Hore for Mealamu (65), A. Williams for Whitelock (62).
Not Used: B. Franks, Vito.
Argentina: Rodriguez, Camacho, Bosch, Contepomi, Agulla, Fernandez, Vergallo; Roncero, Ledesma, Figallo, Carizza, Albacete, Farias Cabello, Leguizamon, Senatore.
Replacements: Jose Imhoff for Agulla (50), Lalanne for Vergallo (49), Ayerza for Roncero (39), Creevy for Ledesma (70), Scelzo for Figallo (59), Campos for Carizza (62).

 

 

 

Angleterre France

8 Octobre

Eden Park Auckland

 

 

Wc.2011.Eng.Fra.QtF.Thewildbunch22.1Hlf.mkv
424.0 Mo
https://uptobox.com/7rnacbvt26ta
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Wc.2011.Eng.Fra.QtF.Thewildbunch22.2Hlf.mkv
476.9 Mo
https://uptobox.com/u6d7eim6ina5
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 Une seule fois depuis qu'il est en poste (juillet 2008), Martin Johnson avait « osé » titulariser ses deux demis d'ouverture, Jonny Wilkinson et Toby Flood , au sein de la ligne d'attaque du quinze de la Rosé. C'était lors du tournoi 2010 contre le pays de Galles (30-17). Alors, que penser cette fois du choix du très conservateur manager ? « J'ai choisi Toby . Ce n'est ni un pari, ni un risque. Surtout lors d'un quart de finale de Coupe du monde », a lancé Johnson. « Mike a eu mal toute la semaine. Il était tout près de s'entraîner à fond. Mais... » Puis il est revenu sur les qualités de Flood. « Nous avons également tenu compte de l'excellente rentrée de Toby contre l'Ecosse , samedi dernier. » Une association Flood Wilkinson n'a rien d'expérimental. « Ça s'est souvent produit quand nous étions partenaires à Newcastle et aussi en équipe nationale, raconte Flood. 

 

 Lors du Mondial 2007 ou dans le Tournoi 2008 aussi, quand je rentrais enjeu. » Soit avant l'arrivée de JohnsonWilkinson est également ravi par ce choix. « Je sais qu'il va beaucoup m'aider. C'est une excellente chose d'avoir quelqu'un qui prend le relais en termes de stratégie. Qui prend l'option de taper, d'annoncer des combinaisons. » Et si « Wîlko » fait rarement part de ses émotions, il rappelle le lien particulier avec celui qui fut son élève à Newcastle. "Je le connais depuis 2004 quand j'entraînais les gamins du King 's Collège de Newcastle. Il avait dix-sept ans, c'était la star de son école" Comme beaucoup, Thierry Lacroix (43 sélections entre 1989 et 1997) est très surpris par cette composition d'équipe. « Rugbystiquement, c'est une arme extraordinaire ! Mais je ne n 'arrive pas à comprendre une telle décision à ce stade de la compétition, s'étonne l'ancien ouvreur et centre des Bleus. Flood est très talentueux, il est joueur, coureur, prend les intervalles, peut faire des croisées. Mais c'esttout l'opposé de Tindall, qui garde le ballon sous le bras et va péter dans la gueule de l'adversaire. C'est ce dernier qui incarne le rugby que Johnson aimait jouer ! » Stratégiquement, la France doit-elle craindre l'union des deux leaders d'attaque. 

 

Comment vont-ils s'organiser ? Permuteront-ils comme l'avaient fait avec une grande réussite Wilkinson et Felipe Contepomi avec Toulon contre le Munster en Coupe d'Europe cette saison ? « Cest vrai que cette option nous permettra de permuter sur des situations ouvertes, approuve prudemment Wîlkinson. Peu!-étre pas lors des lancements en mêlée et en touche. Mais, une fois le jeu lancé et ouvert, si on est mutuellement en position de 10,12 ou 13, on essaiera de s'adapter. » La vitesse de course et de passe de Flood pourrait effectivement accélérer le jeu de ligne des Anglais. Mais, pour Lacroix, Flood ne sera ni offensif, ni garant d'un jeu de mouvement. « Déjà, Wilkinson ne laissera pas Flood prendre le jeu à son compte, lance le consultant de TF 1. Je n'y crois pas. En revanche, si sa titularisation est un choix stratégique, alors on le constatera dans le jeu au pied d'occupation. 

 

 

Avec un gaucher (Wilkinson) et un droitier (Flood), je pense que les Anglais auront deux mitrailleuses qui vont taper des coups de pied croisés dans le dos de nos ailiers, Clerc et Pâtisson, qu'ils savent être d'excellents relanceurs. Ils vont les fatiguer. Ils vont nous user avec leur jeu au pied et tenter de nous laminer avec leur pack. Et une fois que ce sera fait, peut-être Flood sera-t-il "libéré". » Comme les Bleus (avec Yachvîli et Parra), l'Angleterre pourra aussi compter sur deux buteurs de haut rang. Et Wilkinson, qui pourrait devenir le meilleur réalisateur de l'histoire du rugby demain - il est à 6 unités du record de Carter, 1 250 points -, s'est montré élogieux envers Parra qui sera son adversaire direct à l'ouverture. « II est capable de faire de grandes choses, de trouver ce qu'il y a de mieux chei les autres joueurs de son équipe. Dans sa tête, avec sa mentalité. Usait quelle est la meilleure chose à faire et quand il doit la faire. Il est dangereux, difficile à défendre. II est capable de taper très long, de passer très vite. Il a la clé.» Mais qui trouvera l'ouverture