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Group Stage, Group C 27 September 2011 Trafalgar Park, Nelson L' Italie doit impérativement battre les Etats-Unis à Nelson, poule C, pour entretenir l'espoir d'accéder aux quarts de finale de la Coupe du monde de rugby, pour la première fois de son histoire. En cas de succès sur les Américains, la Squadra jouerait un vrai-faux "huitième" de finale, face à l'Irlande, lors du dernier match de la première phase, le 2 octobre à Dunedin. D'ailleurs, l'entraîneur Nick Mallett, qui a apporté neuf changements à la composition de l'équipe victorieuse de la Russie (53-17) le 20 septembre, espère que ses joueurs assureront assez rapidement la victoire, et pourquoi pas le point du bonus, afin de ménager certains cadres. "Si cela se passe bien contre les Etats-Unis, j'aimerais pouvoir faire sortir certains joueurs.   Ce serait bien si je pouvais faire sortir Sergio Parisse ou Martin Castrogiovanni vers la 60e minute, mais je ne prendrai aucun risque

 L'atout majeur à'Au contact réside dans sa programmation à 22 h 30, qui permet notamment de concocter des duplex matinaux avec la Nouvelle-Zélande : Jo Maso et Vincent Clerc ont pu ainsi intervenir en direct. Cet horaire tardif instaure aussi un climat propice à de joyeux dérapages. Mourad Boudjellal s'en donne à cœur joie sur les pesanteurs du rugby français et Pierre Berbizier est ici plus bien incisif que sur LCI ou TF1. Petit bémol, Xavier Garbajosa gagnerait à se détacher de son statut d'ancien joueur. Le 17 septembre, il expliquait ainsi : « Les journalistes, ils sont bien gentils, mais ils posent toujours la même question. » Son voisin de table, Philippe Dintrans, ne l'a pas raté : « C'est leur métier, Xavier. » La star : Jean-Baptiste Lafond. Invité du jeudi au dimanche, l'ancien arrière du Racing est hilarant. Lièvremont ? « II ferait pleurer un clown qui a gagné au Loto. » Les Canadiens ? « Ça joue à une passe et ça rentre dans la meule : c'es

Group Stage, Group B Day 3   B ack in 2005 and as an 18-yeai-old who had already sampled the world of Test rugby, John Barclay was in Wellington trying to work out whether he really wanted toplay any more. Andnot without reason. Plucked straight from his school side and put into the Scotland Test squad, he had gone from hero to zero in next to no time and was alone and a long way from home. Back in Wellington this week, preparing for tomorrow's vital World Cup game against Argentina when a win could result in Scotland confronting the All Blacks in the quarter-finals, Barclay concedes that his selection, one month after his 18th birthday, was very much in the manner of Scotland's coach at the time, Matt Williams. The Australian, whois not noted for being backward when it comes to the grand or flash gesture, added Barclay to his first squad on the back of not much more than an eye-catching performance in a schools cup final. If it was designed to inspire Barclay or any young Sc

Group Stage, Group B Day 3 Otago Stadium,dunedin 24 September 2011 Referee: M. Poite(FRA).   L es journalistes auraient preferé parler de l'immense tâche qui attend une équipe de Roumanie largement remaniée (onze changements) contre l'Angleterre demain, en prévision du « choc » contre la Géorgie. On aurait aimé insister sur le retour de Jonny Wilkinson au sein du quinze de la Rosé. L'ouvreur de Toulon, qui avait manqué cinq buts de suite face à l'Argentine (13-9, le 10 septembre dernier), est l'un des sept éléments de retour demain. Souligner que les Roumains seront menés par un joueur de Fédérale 1 française (Petre, Saint-Etienne}... Martin Johnson et Mike Tindall ont eux-mêmes essayé de parler du match, de leurs adversaires. « Ils sont fiers, ils ont une bonne mêlée, un bon pack, sont bons sur les ballons portés » (Johnson). Mais, comme coincés dans l'un des salons de leur hôtel à Dunedin, l'entraîneur et les joueurs anglais ont vite compris que l'a

I l s figuraient parmi les prétendants sérieux à la phase finale, voire au titre. Mais les voilà relégables, la faute à trois défaites en quatre matches. Montpellier et Biarritz, trois points chacun, n'ont pas le choix à domicile contre Bordeaux-Bègle et Perpignan. Il faut gagner à tout prix, sous peine de plonger dans la crise autant que dans les profondeurs du classement. Seul club invaincu, le leader clermontois espère être reçu cinq sur cinq après la venue de Bayonne. La jeune classe auvergnate, qui n'en finit plus d'étonner depuis le début de la saison, veut continuer à s'éclater. Les champions de France Toulousains ont préparé le derby de la Garonne, à Agen, avec les pires difficultés pour trouver des demis de mêlée. Du coup Jean-Baptiste Élissalde, qualifié in extremis en tant que joker Coupe du monde, devrait bien s'y coller pour rendre service à la cause rouge et noir.  Le promu lyonnais se déplace à Colombes sans grandes illusions, et c'est sans doute

A près le magnifique succès des Irlandais contre l'Australie, le tableau final pronostiqué avant le début de la compétition a été jeté illico à la poubelle. Si la France est battue demain par la Nouvelle-Zélande, elle devrait rencontrer l'Angleterre en quart et, en cas de victoire, être opposée au vainqueur d'Irlande - Galles. Les Bleus auraient dit-on, devant eux, un boulevard en direction de la finale. Au vu de leurs premières prestations, on peut émettre quelques réserves qui seront peut-être en partie levées contre les Blacks demain matin. Anglais, Irlandais et Gallois ont aussi montré de belles choses depuis le début de la compétition, ils ne céderont pas leur place comme ça. Le bas du tableau mettrait donc aux prises la Nouvelle-Zélande à l'Argentine (ou à l'Ecosse) et l'Australie à l'Afrique du Sud. Chaque demi-finale pourrait être, comme en 1991, 2003 et 2007, une finale d'hémisphère.  Poule A Le vainqueur de Nouvelle-Zélande — France finira pre

  L ’émission défile au rythme des interventions de chacun : à toute vitesse. En régie, tout roule. Pas besoin d’intervenir à l’oreillette. Seuls quelques ordres donnés à John, la cadreur plateau, calmement exprimés dans le jargon de la réalisation, viennent troubler une ambiance plutôt paisible. « C’est complètement différent d’ « Au Contact » que j’anime pendant la saison, avoue Xavier Garbajosa. Ici, on discute avec de vrais spécialistes, des pointures, on parle de jeu, de technique, de stratégie, c’est super intéressant, ça va vite, alors que parfois, au cours de la saison régulière, nous recevons des présidents de club qui n’ont pas le même passé, pas la même culture, pas le même vécu sportif qu’un Berbizier, un Garuet et les autres. »

Group Stage, Day Two Group C 20 Septembre 2011 Trafalgar Park Arbitre : S. Wals D ans la perspective d'une éventuelle qualification en quarts de finale, pour la première fois en sept participations, la Squadra doit à tout prix empocher le bonus, un objectif qu'elle doit également atteindre lors de sa prochaine rencontre face aux Etats-Unis. Le 2 octobre, elle devra enfin battre l'Irlande à Dunedin, pour espérer accrocher une des deux places qualificatives, au détriment du XV du Trèfle ou de l'Australie. Italie: Masi - Toniolatti, Benvenuti, Pratichetti, McLean - (o) Bocchino, (m) Gori - Ma. Bergamasco, Parisse (cap), Derbyshire - Bortolami, Geldenhuys - Cittadini, Ongaro, Perugini Russie: Klyuchnikov - Ostroushko, Kuzin, Makovetskiy, Artemyev - (o) Rachkov, (m) Shakirov - Garbuzov, Gresev, Grachev - Byrnes, Voytov - Prishchepenko, Korshunov (cap), Botvinnikov

  G éraldine Pons jette un dernier coup d’oeil sur son intro en attendant le décompte du réalisateur. Xavier Garbajosa enfile une veste, comme tous les autres consultants. En régie aussi tout le monde est à son poste. 8 personnes au total devant le long pupitre. Les deux rédacteurs en chef, François Schlotterer et David Dybman sont devant leur conducteur, Olivier Desnos, le réalisateur, demande à John, le seul caméraman en plateau, de préparer son plan d’introduction. « Reste sur la main, là, c’est bon », « Prépare-toi à zoomer »… Les 4 autres caméras de l’émission sont automatisées, et déjà positionnées sur chaque consultant. Les synthés sont prêts, la composition de l’équipe de France contre la Canada aussi et les illustrations qui viendront appuyer les propos de chacun sont toutes calées sur les quatre écrans qui leur sont dédiées. Et il n’y a pas plus d’agitation ou de stress qu’il y a une heure et demie.  « 3-2-1 c’est parti ». Géraldine Pons lance les débats… Et on ne l’entend p

  E n arpentant les couloirs du 4e étage pour rejoindre la régie et le beau petit studio d’ « Au Contact » tout drapé d’un noir qui fait assez classe, rien n’indique que l’on se prépare à y tourner un talk en direct. Ici, pas d’agitation démesurée, aucun bruit, loge maquillage encore déserte, tout est calme en régie, comme si après deux émissions seulement tout semblait déjà rôdé. Seuls Xavier Garbajosa et Géraldine Pons sont déjà en plateau. Ils préparent le « teaser » de leur émission dont ils annonceront le sommaire en direct dans quelques minutes, à la mi-temps du match de Ligue 2, Amiens-Lens, qu’Eurosport diffuse. Là encore, aucun stress pour les deux animateurs. La seule vraie préoccupation de Géraldine Pons, bien plus petite que Xavier Garbajosa, est de savoir si elle doit grimper ou non sur le cube de plexiglas mis à sa disposition pour pallier son déficit de taille à l’image. L’essai n’est pas très concluant. Finalement, Olivier Desnos, le réalisateur lui demandera juste de p

Group Stage, Group B 18 September 2011 Rugby Park, Invercargill 20 000 spectateurs Arbitre : M.Walsh I l est bien loin le temps où le rugby roumain défiait le XV de France et arrivait à le battre. Les Chênes (leur surnom) ont vieilli et n'ont plus leur solidité d'antan. D'ailleurs, même s'ils ont participé à toutes les Coupes du monde, jamais ils n'ont passé le premier tour. Malgré quelques éléments de valeur comme le troisième ligne de Perpignan, Ovidiu Tonita, ils semblent promis au même sort cette année.

Group Stage, Day Two,Group B 18 September 2011 Otago Stadium, Dunedin Referee : M. Kaplan   P oussive et peu Imaginative contre l'Argentine (13-9), dans le sillage d'une performance moyenne de Jonny Wilkin-son comme joueur el comme buteur, l'Angleterre se tourne à nouveau vers Toby Flood (26 ans, 42 sélections), aujourd'hui contre la Géorgie.   Même pas entré en jeu face aux Pumas, l'ouvreur a avoué dans la semaine : « Le pire, c'était ce sentiment de n 'être pas partie prenante de ce premier match. Mais très vite, vous relativisez et raisonnez en termes de collectif. Il ne faut pas oublier que huit joueurs n'ont même pas la chance d'être sur la feuille de match. Vous vous dites alors que les semaines suivantes seront importantes et qu'il faut tout faire pour prouver aux sélectionneurs qu'ils ont eu tort. * Heureusement ces derniers n'ont pas la mémoire courte. En associant Flood à Ben Youngs, auteur de l'essai salvateur contre

  L ors du deuxième tour des poules de la Coupe du monde de rugby à XV de 2011 qui se dispute en Nouvelle-Zélande (Océanie) du 9 septembre au 23 octobre, on a vu le Canada créer la surprise en venant à bout des Tonga, la Nouvelle-Zélande infliger une véritable correction au Japon, l’Afrique du Sud atomiser les Fidji et, surtout, l’Irlande bousculer et même battre l’Australie. La France n’avait pas de match à disputer au cours de ce tour des poules.

Group Stage, Day Two, Group C 17 September 2011 Eden Park, Auckland, Referee : B. Lawrence A pres la demonstration de maîtrise dont on tfait preuve les Wallabies face à l'Italie (32-6) dimanche dernier et le brouillon de rugby livré le même jour par les Irlandais face aux Américains (22-10) lors de la première journée, on devine assez facilement l'issue probable de ce match entre les deux plus grosses nations de la poule C. Car si lors du Mondial 2003, l'Irlande, au sommet de son art, avait été capable de tenir tète aux Australiens (16-17), si en 2009, elle était parvenue, au forceps, à décrocher un match nul à Dublin (20-20), elle le devait beaucoup au brio de sa ligne de trois-quarts aujourd'hui déclinante.   Sans faire injure à leur passé, Brian O'Driscoll, Gordon D'Arcy font leur âge - et parfois un peu plus -depuis quelques semaines. Et même si certains, comme Tommy Bowe, ont encore du jus, la comparaison avec la fougue des Wallabies (Quade Cooper,

U ne petite porte s'est entrouverte et ils en ont profité pour s'y engouffrer. Les quatre-vingt-dix-sept places libérées par les internationaux du Top 14 pendant la Coupe du monde : profitent en partie à des jeunes . Car pour des raisons financières ou par conviction, les équipes n'ont fait que peu appel aux jokers Coupe du monde, pourtant autorisés par le  règlement. D'ailleurs certains clubs qui ont utilisé beaucoup déjeunes, souvent à cause de : blessures dans leur effectif, souffrent. De Jonathan Danty, le centre parisien, pas encore dix-neuf ans, à l'ouvreur de Bayonne Clément Otazo en passant par les piliers de Clerrnont Raphaël Chaume ou du Racing-Métro Ëddy Ben Afous, les nouveaux patronymes fleurissent sur les feuilles de match. La génération équipe de France de moins de20 ans de l'an dernier est aussi à l'honneur : le Montpelliérain Yohann Artru, le Clermontois Jean-Marceilin Buttin, le Bayonnais Marvin O'Connor, le Toulousain Gillian Galan.

Group Stage,  Day Two, Group A 15 September 2011   A pres Dan Carter, touché au dos, Graham Henry va devoir se passer de trois autres joueurs pour affronter le Japon, dont les deux internationaux les plus expérimentés de l'histoire du rugby, Richie McCaw et Mils Muliaina. Plus Israël Dagg, victime d'un début de pubalgie. « Si je suis inquiet ? Bien sûr que je le suis. Je suis toujours inquiet. "Inquiet", c'est mon deuxième prénom », souffla Henry dans une tentative de dédramatiser la situation à dix jours du choc face aux Bleus. « En fait, cesontdes blessures assez mineures, et on ne voulait pas prendre le risque de les aggraver. »   McCaw, qui s'apprêtait à fêter sa centième sélection, souffre d'une « élongation mineure » du mollet gauche, tandis que Muliaina (98 sélections), qui devait disputer son dernier match devant son public de Waikato avant de partir au Japon, est touché aux ischio-jambiers de la cuisse droite. « Si nous étions à quelques jour

Group Stage, Day Two 15 September 2011 L es Russes seront les petits poucets de cette compétition qu'ils vont disputer pour la première fois de leur histoire. Avec des joueurs inconnus du grand public, qui jouent pratiquement tous au pays, à l'exception de Kirill Koule-mine, deuxième ligne de Castres, la sélection sera surtout là pour apprendre et n'aura aucune pression. De là à obtenir des résultats...

Group Stage, Day Two Group B 14 September 2011 Honnis en 1991, le XV du chardon a toujours atteint les quarts de finale en Coupe du monde. Mais cette fois, l'Angleterre et l'Argentine (contre laquelle les Ecossais n'ont gagné que deux fois en neuf rencontres) pourraient lui barrer la route. Les partenaires du buteur de Cardiff, Dan Parks, ont signé un triste tournoi des Six Nations 2011, terminant avant-derniers avec une seule victoire, face à l'Italie. Pas vraiment rassurant pour une sélection qui manque cruelle ment de leaders.  Les légendaires Andrew Irvine ou Gavin Hastings n'ont pas été remplacés et les Scottish ne luttent plus à armes égales avec les grandes nations du rugby mondial. Le sélectionneur anglais Andy Robinson saura-t-il remonter le moral de ses troupes, comme il l'avait fait à sa prise de fonction en 2009 ? Une chose est sûre : les Ecossais ne renoncent jamais et iront au combat. Les Géorgiens sont bien connus en France. Beaucoup jouent

 " V ous croyez vraiment que mon premier match dans cette Coupe du monde sera aussi le dernier ?". Posée en toute franchise, la question est de Luc Ducalcon, qui sera tilulaire dimanche face au Canada après avoir suivi depuis les tribunes la victoire des bleus contre le Japon samedi. En effet, la stratège adoptée par Marc Lièvremont pour gérer son effectif de trente joueurs est désormais claire. Après « l'équipe type du moment », le sélectionneur a effectué onze changements, comme prevu de longue date, pour constituer « une équipe compétitive », privée de l'essentiel des joueurs indispensables (Mas, Nallet. Dusautoir, Harinordoquy. Médard...). Avant d'attaquer les choses sérieuses six jours plus tard contre les All Blacks. ce rendez-vous face au Canada est la dernière occasion d'offrir un match à ceux qui devraient prétendre au mieux, par la suite, à un statut de remplacant. Neuf des titulaires face aux Canucks peuvent être assimilés à des « cosstards-cravates

Group Stage, Day Two Group A 14 September 2011   A dversaire d'un XV de France largement remanié dimanche, les Canadiens ont battu contre toute attente les Tonga, pour leur premier match de la coupe du monde de rugby.  L'équipe du Canada a inauguré mercredi sa Coupe du monde par une victoire opportuniste face aux Tonga (25-20) dans un match brouillon qui a mis en lumière sa solidité physique et son efficacité, dont devra se méfier le XV de France qui l'affronte dans cinq jours (poule A).  Les Canadiens auront-ils suffisamment récupéré d'ici à dimanche? Après le match, l'entraîneur néo-zélandais du Canada, Kieran Crowley, était fataliste mais affirmait l'avoir anticipé et avoir mis "en place des choses" dans la préparation physique et la récupération de son équipe.  Ce sera une des clés car, face à une formation des Tonga largement remodelée et en clair manque de repères, la solidité physique a été la principale arme des "Canucks" emmenés

  L es dix favoris pour les quarts de finale ont tous joué leur premier match. Pour certains tout va bien, pour d'autres en  revanche... En trois jours, les six nations du Tournoi du même nom et les quatre gros pays de l'hémisphère Sud ont joué  leur premier match de Coupe du monde. Évidemment, l'adversité n'était pas la même pour les uns - la France affrontait le  Japon et l'Irlande les États-Unis - que pour les autres - l'Angleterre se retrouvait face à l'Argentine et l'Afrique du Sud  face au pays de Galles. Mais ces quatre-vingtsminut.es decompétition ont procuré de précieux enseignements sur l'état de  forme et la com-pétitivitédes principaux prétendants aux quarts de finale et au titre suprême, auxquels on aurait pu  ajouter les Fidji (poule D, poussifs face à la Namibie, samedi, 49-25), les Tonga (poule A, sèchement battues par les All  Blacks, 10-41} et les Samoa (poule 0, qui entrent en lice la nuit prochaine contre la Namibie). 

Group Stage, Day One Group D 11 September 2011   D ans une Coupe du monde, jamais l'Irlande n'est allée plus loin que les quarts de finale. Incapable de sortir de son groupe en 2007, le XV du trèfle a mis le Tournoi des Six Nations à profit pour monter en puissance et aguerrir ses jeunes pousses vertes. En battant l'Angleterre (24-8) en clôture du Tournoi, les coéquipiers de Brian O'Driscoll, avec le prometteur Jonathan Sexton (26 ans) à la baguette, ont montré qu'ils avaient du potentiel. Leur double défaite contre les Français le mois dernier (19-12 et 26-22) a douché un peu leur enthousiasme.   Les joueurs de Declan Kidney, dont certains ont aussi remporté la Coupe d'Europe avec le Leinster, misent sur une défense qui n'a concédé que quatre essais en cinq matches dans les Six Nations. Et ce ne sont pas les Etats-Unis, la Russie ou l'Italie qui feront vaciller les Celtes dans leurs convictions. Tous les voyants sont donc au vert pour des Irlandai

Group Stage, Day One Group D 11 September 2011 Regional Stadium,  Wellington   L e champion du monde sortant a perdu de sa superbe depuis le sacre de 2007. Quatre ans plus tard, le retors Peter de Villiers a dû préparer le rendez-vous planétaire des Springboks en composant avec une infirmerie pleine à craquer. Bryan Habana, Schalke Burger, Bakkies Botha, pour ne citer que ces artisans-là du titre, ont donc été ménagés pour le Tri Nations. Mais cette liste de blessés "de complaisance" (une enquête a été réclamée par l'Australie) a fait jaser dans le Sud, où on a accusé les Sud-Africains de galvauder cette compétition.  La ficelle est un peu trop grosse... mais elle a déjà été utilisée : en 2007, ne sont-ils pas devenus champions du monde en mettant leurs cadres au repos lors des matches du Tri-Nations disputés à l'extérieur ? Vieillissants et plus vraiment capables de maintenir de l'intensité durant quatre-vingts minutes, les Sud-Africains ne feraient donc pl