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F rançois Trillo prend le relais pour revenir en images sur toutes les rencontres du jour. Quarante-cinq minutes pour revivre l’essentiel de la journée de championnat à travers des résumés, des interviews, des reportages, tous les essais du jour, les réactions et les analyses. Et pour cette 2e rentrée post-coupe du monde, Jour de Rugby s’enrichit d’une nouvelle rubrique : « L’Oeil d'Elissalde » Après quatre mois passés en mode Equipe de France, Jean-Pierre Elissalde, déjà présent depuis 3 ans aux côtés de François Trillo dans Les specialistes animera une nouvelle rubrique « L’Oeil d'Elissalde ». Quelques minutes pour livrer sans censure « son décryptage » de la journée.

3rd Place Final 21 October 2011 Eden Park, Auckland D ans ce genre de rencontres qui oppose deux équipes déçues, on essaie de deviner laquelle s'en fichera le moins. A priori, avantage aux Gallois qui n'ont fait que des changements forcés pour blessure, suspension ou fatigue (Alun-Wyn Jones}. Warren Gatland a assuré qu'après la cruelle élimination contre la France, son équipe viserait un succès «pour finir sur un sentiment d'achèvement». Les Australiens ont fait d'avantage tourner (huit changements) mais récupèrent Kurtney Beale à l'arrière. Ce sera fa centième sélection de Nathan Sharpe mais peut-être pas les adieux de Shane Williams car les deux équipes se retrouveront le 3 décembre à Cardiff et l'ailier gallois pourrait vouloir quitter le circuit mondial à domicile.   

I l était déjà, avant le Mondial, le favori pour cette tâche. Dimanche, c'est donc bien le Sud-Africain Craig Joubert, 33 ans, qui arbitrera la finale Nouvelle-Zélande - France à l'Eden Park. Et comme de juste, les sélectionneurs des deux camps ne se sont pas fait prier pour lui envoyer des fleurs... * C'est un excellent arbitre, s'est réjoui l'entraîneur des Blacks Graham Henry. // communique bien et prend de bonnes décisions dans les moments critiques. » «Cela fait pas mat de temps que je le considère comme le meilleur arbitre du monde, a renchéri Marc Lièvremonî. J'ai entièrement confiance en lui. » Arbitre estampillé « hémisphère Sud», Craig Joubert n'est pas des plus regardants dans les rucks, ni dans les phases plaqueur-plaqué. Favorisant l'esprit plutôt que la règle, et l'équipe qui avance par rapport à celle qui défend, Se Sud-Africain a au moins un mérite: celui de laisser les joueurs décider eux-mêmes de la victoire... Il s'agira du 29e

I ls y sont. Ce France-Nouvelle-Zélande rêvé, finale de Coupe du monde au pays du rugby, la même que celle perdue en 1987, les Bleus vont le vivre dimanche (1 Oh, heure française) à l'Eden Park d'Auckland. Mais pour glaner leur premier titre mondial, ils vont devoir gravir l'Everest. D'un côté, des Français sans éclat mais portés par leur bonne étoile. De l'autre, des Blacks lancés vers un titre qui leur est promis de longue date. Mission impossible ? Pas simple, mais il faut croire à l'exploit d'une vie. Oublier le piètre niveau de jeu, les critiques, les tensions avec le sélectionneur. Et peu importe si le XV de France finit par ne jamais réaliser ce tant attendu match référence. «Si nous devons gagner comme contre les Gallois, on le fera avec grand plaisir», confirme Lièvremont Au-delà du jeu, le mental sera essentiel. Car les Blacks ne sont jamais tout à fait sereins face à ces imprévisibles Français, leurs bourreaux en 1999 puis en 2007. «Il y a toujour

O n sait de quoi sont faits les rêves d'enfant. Dans les cours de récréation, c'est toujours la dernière minute de la finale de la Coupe du monde, la dernière action, le public retient son souffle : si c'estdu foot, l'adversaire est le Brésil ; si c'est du rugby à toucher, c'est la Nouvelle-Zélande. Des enfants français aux genoux couronnés ont donc assez grandi pour vivre leurs rêves. Comme en 1987, l'équipe de France de rugby dispute la finale de la Coupe du monde (ace à la Nouvelle-Zélande, demain. En 1998, les Bleusdu football avaient battu le Brésil (3-0) en finale du Mondial, certes au Stade de France, pas au Maracana, quand les rugbymen accostent à l'Eden Park comme sur une terre promise. Comme toujours, l'idée de l'apothéose réunit l'événement, le lieu et l'adversaire : une finale contre l'Ecosse au Canada ou contre la Pologne au Qatar, ce n'est pas pareil. La magie des AH Blacks, des Brésiliens, est d'abord celle de l

D 'après le bilan de Yacast réalisé entre le début de la compétition et les quarts de finale, TF1 a gagné 15,3 millions d'euros bruts en revenus publicitaires pour 16 rencontres diffusées. Les deux quarts de finale diffusés sur la première chaîne ont rapporté 3,5 millions d'euros dont 2,6 millions d'euros pour le seul France-Angleterre suivi par 8 millions de téléspectateurs. Rappelons enfin que TF1 a dépensé 27 millions d'euros pour acquérir en exclusivité les droits de la compétition. Elle en a cédé une partie à Canal + et France Télévision en début de compétition mais depuis la fin des quarts de finales, il n'y a plus que la première chaîne pour diffuser les matchs. Et, c'est une aubaine, grâce à la présence du XV de France en finale, elle va pouvoir tarifer le spot publicitaire jusqu'à 100.00 euros !

L ors de la finale de la Coupe du monde 2011 contre la Nouvelle-Zélande, la France jouera en maillot blanc, laissant les All Blacks évoluer dans leur traditionnel maillot noir devant leur public. La France jouera en maillot blanc la finale de la Coupe du monde 2011 contre la Nouvelle-Zélande, dimanche à l’Eden Park d’Auckland. Le XV tricolore a décidé, bien qu’ayant gagné le tirage au sort, de laisser les All Blacks évoluer dans leur traditionnel maillot noir devant leur public. Le manager du XV de France Jo Maso avait depuis plusieurs jours laissé entendre que les Français prendraient cette décision s’ils remportaient le tirage au sort, qui a eu lieu lundi lors de la séance plénière de l’Assemblée générale de l’International board. Cité dans un communiqué de la Fédération française de rugby, Jo Maso a justifié ce choix par «la qualité de l’accueil du peuple néo-zélandais, l’organisation sans faille de cette compétition, l’honneur et le plaisir qui nous est fait de jouer la finale de l

L es joueurs se sont reposés une semaine au lendemain de la 6e journée, pour cause de Mondial. Presque toutes les équipes ont reçu les premiers renforts de joueurs rentrés de Nouvelle-Zélande (les battus des quarts manqueront à l'appel). Cela permettra de redonner des forces à certains clubs qui en manquèrent, Montpellier et Biarritz par exemple. Tous deux ont remporté leur premier match lors de la dernière journée. Seront-ils capables d'enchaîner, l'un à Bayonne, l'autre à Brive? Comme leurs recevants sont à la recherche de points, l'affaire est loin d'être acquise. Castres se méfiera du leader toulousain encore incomplet. Clermont sera aussi attentif contre Agen dont le début de saison est très réussi. Perpignan, qui sort d'un revers à domicile contre Agen, tentera de se racheter en jouant un mauvais tour à Toulon sur son herbe. Lyon, à Gerland, devra être vigilant face à des Parisiens très pâles à l'extérieur (18 points marqués, 68 encaissés). Bordeau

Semi Final Sunday 16 October 2011 Eden Park, Auckland   Q uelle est la différence entre un cochon et un Australien ? Même ivre mort, un cochon ne ressemble pas à un Australien. » Voilà une des blagues dont les Néo-Zélandais raffolent et qui a été remise au goût du jour cette semaine. Evidemment, d'autres devinettes, moins «soft» circulent, mais difficile de les écrire ici... La Nouvelle-Zélande et l'Australie aiment se détester. La rivalité entre les deux pays n'est pas que sportive mais elle est exacerbée lors de ces confrontations. « C'est vrai, reconnaît Andy Ellis, le demi de mêlée des Blacks. Nous aimons bien les battre. Notre pays est plus petit donc ça rend toujours la victoire plus douce. » Et le sourire en coin du joueur des Crusaders d'ajouter un peu de piment à une déclaration tout en douceur. « C'est croustillant et passionnant, reprend Brad Thorn. Les deux pays adorent croiser le fer l'un contre l'autre. » Une façon comme une autre d'ex

5 avril 1998 Wembley, London   C e match est joué un dimanche, ce qui constitue une première dans le Tournoi pour les deux équipes. Parce que l'Arms Park de Cardiff est en reconstruction, la confrontation est organisée en Angleterre, à Wembley plus précisément. La partie n'est commencée que depuis trois minutes et les Français, sûrs d'eux et dominateurs, commencent un cavalier seul dans un match qui prend bien vite l'allure d'un sens unique. Avec sept essais, la France égale le record d'essais dans un match du Tournoi et pour la première fois, remporte une victoire à l'extérieur sans encaisser un point. Il s'agit également du record d'essais marqués par une seule équipe dans un seul Tournoi. C'est surtout le deuxième Grand Chelem consécutif pour l'équipe de France. 98 après 97, une grande première dans l'histoire du rugby français !

Semi Final Saturday 15 October 2011 Eden Park,  Auckland   E st-il mérité d'entrer dans l'Histoire en battant l'Angleterre ? Oui, pour l'équipe de Guy Basquet et Jean Prat qui s'imposa, en 1951, pour la première fois à Twickenham; non en 2011 après une victoire en quart de finale de Coupe du monde. Est-il possible de se faire une place dans le panthéon des rugbymen français en dominant le pays de Galles ? Oui pour le XV de Christian Carrère, vainqueur à Cardiff en 1968 au terme d'un match qui offrit au rugby français son premier grand chelem; non pour les Bleus dussent-ils accéder à la finale en cas de succès samedi. Ce que Thierry Dusautoir et ses coéquipiers ont réussi le week-end dernier est dans l'ordre normal des choses, et la perspective de disputer une troisième finale de Coupe du monde ne relève pas d'une impossible mission. Aujourd'hui, il est urgent de relativiser, de remettre bien droite l'échelle des valeurs, sinon la confusion s&#

Quarter Final   9 October 2011 Regional Stadium, Wellington Referee: Bryce Lawrence Assistant referees: Dave Pearson  Romain Poite Giulio De Santis D 'un côté, l'assurance, la puissance mais un manque d'imngination. De l'autre le talent, la vitesse mais une certaine friabilité Afrique du Sud - Australie, véritable choc de ces quarts de finale du Mondial, opposera,  à Wellington, deux sélections déjà sacrées à deux reprises chacune. Les Wallabies, battus à la surprise generale en poule par l'Irlande, miseront sur les inspirations d'une ligne de trois-quarts imprévisible. Mais Beale, Cooper ou O'Connor auront-ils les ballons nécessaires à leurs exploits ? Le pack de fer des Springboks, sera une nouvelle fois l'arme absolue des champions du monde en titre. South Africa: 15 Pat Lambie, 14 JP Pietersen, 13 Jaque Fourie, 12 Jean de Villiers, 11 Bryan Habana, 10 Morné Steyn, 9 Fourie du Preez, 8 Pierre Spies, 7 Schalk Burger, 6 Heinrich Brüssow, 5 Victor Ma

Quarter Final 9 September 2011 Eden Park, Auckland Referee: Nigel Owens   L e contraste est saisissant. Huit jours plus tôt au même endroit, le bar et le salon de l'hôtel Heritage où résidait l'équipe d'Angleterre était un havre de quiétude à l'heure du « tea time ». L'Argentine est arrivée et l'atmosphère a radicalement changé. Mercredi en fin d'après-midi, les familles ont investi la place. Les enfants courent, crient, certains pleurent mais, surtout, joueurs et concubines rient et saluent chaque nouvelle arrivée par une bise ou par le traditionnel « abrazo » . Pour les Pumas, il ne faitaucun doute que cette vie de groupe est la clé du succès argentin. « Notre philosophie, c'est que pour être bons sur le terrain, il faut être très soudés en dehors, résume Juan Martin Fernandez Lobbe (JMFL).Mais un esprit d'équipe, c'est quoi ? C'est quand tous se mélangent et communiquent. » Tout a semble-t-il commencé à Pensacola (Floride), au début de

Quarter Final, Saturday 8 October Venue: Wellington Regional Stadium,  Wellington Referee: Craig Joubert   F aites remarquer à Warren Gatland, le sélectionneur des Gallois, qu'à chaque fois qu'il a eu le choix, à valeur égale, entre un jeune et un joueur expérimenté il a choisi le jeune, alors que son homologue irlandais Declan Kidney a opté pour le « vieux », il vous répondra : « Nous avons la chance d'avoir beaucoup de jeunes qui sont arrivés sur les talons de nos anciens et qui ont commencé à leur mordre les chevilles. » A la même question, vingt-quatre heures plus tôt, Kidney s'était contenté d'un diplomatique : «J'ai déjà assez à faire avec mon équipe pour aller me mêler des affaires des autres », avant d'ajouter, tout de même : « Vous auriez tort de penser que j'ai choisi Ronan O'Gara (34 ans, 1 14 sélections) pour son expérience, parce que Jonathan Sexton (26 ans, 22 sélections) a déjà remporté deux finales de Coupe d'Europe (2009 et

  O utre France-Angleterre, les quarts de finale proposent trois affiches alléchantes sur la route d'une finale qui sera forcément un duel Nord-Sud. En attendant le grand rendez-vous, chaque hémisphère devra faire son ménage en interne. Côté Tri-Nations, l'Afrique du Sud et l'Australie vont s'écharper pour éviter une élimination qui serait vécue comme une humiliation au pays, tandis que la Nouvelle-Zélande ne devrait faire qu'une bouchée des Argentins. La confrontation entre le pays de Galles l'Irlande s'annonce comme la plus équilibrée. L'Afrique du Sud part favorite contre l'Australie, dans une opposition de styles entre mastodontes du Sud. Le jeu tout en mouvement des Wallabies fera-t-il craquer la puissance des Springboks, tenants du titre mais auteurs d'un premier tour peu rassurant ? La défaite face à l'Irlande a-t-elle laminé la confiance et les certitudes australiennes ? Seule cer-§ titude : un de ces deux géants du Tri Nations ne ser

  T he Rugby Super League has provided ten years of sizzling summer sport, with stunning tries scored by superb athletes playing the toughest game of all. Over 150 scintillating Super League tries in this superb collection going back to the inaugural 1996 season. Presented by Sky Sports Mike 'Stevo' Stephenson and Great Britain winger Brian Carney, this DVD features their selection and analysis of some of the most memorable Super League tries followed by a year-by-year review of the best of the rest. From Arnaud Cervetlo's spectacular try for Paris St Germain against Sheffield in Super League's first-ever game. Paul Sterling's amazing length of the field effort for Leeds against Warrington and Chris Joynt's last-second semi-final winner for Saints against Bradford, to stunning long-range tries from Anthony Sullivan (St Helens), Martin Offiah (London), Jason Robinson (Wigan) and Lesley Vainikolo (Bradford Bulls). Re-live some of the greatest tries ever scored, ev

  T roisieme evenement sportif, selon ses promoteurs, derrière les Jeux Olympiques et la Coupe du monde de football, le Mondial de rugby est aussi - et de loin - le plus long. Et, donc, souvent le plus ennuyeux. Un sentiment évidemment renforcé cette année avec une compétition qui se déroule à l'autre bout du monde et donc avec près d'une moitié du globe en décalage horaire. Depuis la cérémonie d'ouverture, le 9 septembre, voilà donc plus de trois semaines, il y a eu quarante matches, très déséquilibrés pour beaucoup. Tout cela pour désigner les huit quart-finalistes qui sont exactement ceux qu'on attendait... C'est à se demander a quoi ont servi ces quatre premiers week-ends ! On pourra objecter qu'en football c'est pareil ou presque, que c'est un sport qui se joue à onze contre onze et qu'à la fin ce sont les Brésiliens, Allemands, Argentins, Espagnols et même autrefois les Français qui gagnent Mais en foot, la dernière Coupedu monde, disputée au p

Group Stage,  Group C 2 October 2011   A la veille de son départ, Nick MaUet pouvait difficilement rêver mieux que cet épilogue ck> Dunedin et un match Irlande - Italie qui est en fait un faux huitième de finale. Si les hommes de Nick Mallet s'imposent, ils peuvent renvoyer la pauvre Irlande à la maison plus tôt que prévu rendant caduc son exploit du 17 septembre et sa victoire 15 à 6 sur l'Australie. Ce serait alors un exploit historique pour l'entraîneur Italo-Sud-Africain. Si l'on tient compte du matériel qu'il a à sa disposition, une arrivée en quart de finale, serait comparable à la fameuse série de dix-huit victoires qu'il remporta naguère avec les Springboks.   Si l'Irlande perd, mais marque un bonus défensif, on peut même se retrouver avec une invraisemblable égalité à trois avec l'Australie, chaque équipe terminant riche de quinze points. Évidemment, si l'on se réfère aux chiffres les plus récents, Sergio Parisse et ses équipiers ne sont

Saturday 1 October 2011 Eden Park,  Auckland Referee: Craig Joubert  Assistant referees: Nigel Owens   Jérôme Garces    L a plus vielle affiche du rugby mondial est increvable, on en suivra la 1291' édition samedi à Auckland, mais ce sera la première à se dérouler sur terrain neutre. Les deux équipes vont s'expliquer dans un stade ouvert aux quatre vents, nouveauté pour l'Angleterre qui a joué ses trois premiers matchs dans la serre géante de Dunedin, protégée des intempéries par une énorme verrière. Pour certains, il faut y voir une forme d'iniquité.  Sans boue, sans vent, sans pluie, les Anglais étaient avantagés pour empiler les essais et les points de bonus alors que les Écossais ont dû galérer dans les bourrasques dlnvercargUl et de Wellington. On n'est quand même pas certains que ces Écossais volontaires mais impuissants et brouillons auraient empoché un bonus offensif contre les Géorgiens même pas temps ensoleillé. ÏÏ leur faudra prendre le bonus offens

  C 'est un feuilleton qui trouvera sa conclusion un de ces soirs. Montpellier et Biarritz finiront bien par gagner ce premier match qui leur permettra de croire que le déclic est enfin arrivé. L'un et l'autre ont manqué leur coup vendredi dernier à domicile, contre Bordeaux-Bègles et Perpignan. La lumière viendra-t-elle de cette sixième journée qui met face à eux des adversaires pour le moins robustes? Le BO va à Bordeaux-Bègles, promu aux dents longues qui vient de s'imposer à Montpellier. Les Montpelliérains accueillent des Toulonnais qui gardent en travers de la gorge l'épisode de la dernière journée de la saison précédente. Toulon avait perdu sur la pelouse Yves-du-Manoir 27 à 3 (quatre essais à rien). Ce qui le priva de barrage et de la H Cup. Dernier invaincu de la poule unique, Clermont se rendra à Toulouse pour y passer un test qui ne l'effraie pas. Les Auvergnats, avec une équipe expérimentale ont déjà gagné à Toulon et au Racing-Metro. Alors pourquoi

Group Stage, Group A Saturday 1October2011 Regional Stadium, Wellington Referee: Steve Walsh   C 'est avec de la déception que les Bleus avaient quitté les couloirs de l'Eden Park d'Auckland, samedi dernier, pour retrouver leurs familles. Et c'est avec l'espoir qu'ils sont revenus à la charge, cette semaine. Parce que l'analyse vidéo, cruelle pour la défense, s'est en revanche montrée étonnamment positive sur le plan de l'attaque. « Bien sûr, nous ne marquons que deux essais sur interception, et un sur une pénalité rapidement jouée, expliquait l'ailier toulousain Vincent Clerc. Mais après visionnage des images, nous nous sommes aperçus que nos lancements étaient plutôt bons, et que nous nous sommes créé plusieurs belles situations, malheureusement mal négociées. » La faute à un déchet technique certain : mauvaises passes, fautes de main, problèmes de conservation au sol des trois-quarts en bout de ligne.- Bref, un florilège d'erreurs qu